Quelques citations humoristiques

COLUCHE MICHEL AUDIARD PIERRE DESPROGES RAYMOND DEVOS OLIVIER DE BENOIST


  • 1.
    • Le mois de l'année où le politicien dit le moins de conneries, c'est le mois de février, parce qu'il n'y a que vingt-huit jours.
    • La politique, c'est pas compliqué, il suffit d'avoir une bonne conscience, et pour cela il faut juste avoir une mauvaise mémoire !
    • À quoi ça sert, le pouvoir, si c'est pour ne pas en abuser ?
    • Ce serait raciste de penser que les étrangers n'ont pas le droit d'être cons.
    • C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison !
    • De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent.
    • On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.
    • Mesdames, un conseil. Si vous cherchez un homme beau, riche et intelligent... prenez-en trois !
    • Le plus dur pour les hommes politiques, c'est d'avoir la mémoire qu'il faut pour se souvenir de ce qu'il ne faut pas dire.
    • L'instabilité est nécessaire pour progresser. Si on reste sur place, on recule.
    • Pour qu'il y ait du chomâge quelque part, il faut déjà qu'il y ait du travail.
    • En France, il y a les deux, seulement quand il y a du travail, les travailleurs se plaignent de travailler.
    • C'est pas vraiment de ma faute si y'en a qui ont faim, mais ça le deviendrait si on y changeait rien.
    • Un crédit à long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes.
    • Des idées, tout le monde en a. Souvent les mêmes. Ce qu'il faut, c'est savoir s'en servir.
    • A la télé ils disent tous les jours : "Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.". C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait.
    • Que les sportifs arrêtent le doping... On aura l'air malin devant nos téléviseurs en attendant qu'ils battent les records.
    • Avec les maisons en préfabriqué, pendant le crédit tu répares ce qui s'écroule, et au bout de quinze ans les ruines sont à toi.
    • Mon psychiatre, pour quinze mille francs, il m'a débarrassé de ce que j'avais : quinze mille francs.
    • A la sécurité sociale, tout est assuré. Sauf la pendule. Ça, on ne risque pas de la voler, le personnel a les yeux constamment fixés dessus.
    • Dieu, c'est comme le sucre dans le lait chaud. Il est partout et on ne Le voit pas... Et plus on Le cherche, moins on Le trouve.
    • Vous avez des étrangers qui viennent en France comme balayeur, et après ils restent comme Noir !
    • Dans la vie, y'a pas de grands, y'a pas de petits. La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les pieds touchent par terre.
    • C'est pas dur la politique comme métier ! Tu fais cinq ans de droit et tout le reste c'est de travers.
    • Dans l'administration, on ne doit pas dormir au bureau le matin sinon on ne sait plus quoi faire l'après-midi.
    • Technocrates, c'est les mecs que, quand tu leur poses une question, une fois qu'ils ont fini de répondre, tu comprends plus la question que t'as posée.
    • La chambre des députés, la moitié sont bons à rien. Les autres sont prêts à tout.
    • Il y a quand même moins d'étrangers que de racistes en France.
    • Quand vous voyez un flic dans la rue, c'est qu'y a pas de danger. S'il y avait du danger, le flic serait pas là.
    • Je voudrais rassurer les peuples qui meurent de faim dans le monde : ici, on mange pour vous.
    • Homme politique, c'est une profession où il est plus utile d'avoir des relations que des remords.
    • Si vous avez besoin de quelque chose, appelez-moi. Je vous dirai comment vous en passer.
    • Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter.
  • 2.
    • Conduire dans Paris, c'est une question de vocabulaire.
    • La vérité n'est jamais amusante. Sans cela tout le monde la dirait.
    • Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer.
    • Pourquoi certains n'auraient pas tout ? Il y en a qui n'ont rien. Ca fait l'équilibre.
    • Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute.
    • Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.
    • Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon.
    • Une habitude bien française consiste à confier un mandat aux gens et de leur contester le droit d'en user.
    • L'été : les vieux cons sont à Deauville, les putes à Saint-Tropez et les autres sont en voiture un peu partout.
    • Il vaut mieux s'en aller la tête basse que les pieds devant.
    • Les Français m'agacent prodigieusement, mais comme je ne connais aucune langue étrangère, je suis bien obligé de parler avec eux.
    • L'idéal quand on veut être admiré, c'est d'être mort.
    • Lorsque l'on se défait d'un vice, on s'éprend d'un autre.
    • Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.
    • Le cinéma français est à l'image de la France : on n'a pas assez de pognon et c'est comme ça dans tous les domaines.
    • Il faut user un grand nombre de femmes bêtes pour oublier une femme intelligente !
    • Le bonheur on s'y fait, le malheur on ne s'y fait pas, c'est ça la différence.
    • Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
    • Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent.
  • 3.
    • Si l'union fait la force, la force n'a jamais fait l'intelligence.
    • Il faut rire de tout. C'est extrêmement important. C'est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans.
    • L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !
    • Les hémorragies cérébrales sont moins fréquentes chez les joueurs de football. Les cerveaux aussi !
    • J'ai envie de suggérer une hypothèse, selon laquelle la faible participation des femmes sur la scène politique serait le simple mépris qu'elles en ont.
    • Est-il indispensable d'être cultivé quand il suffit de fermer sa gueule pour briller en société ?
    • De même qu'il ne peut pas vivre sans oxygène, l'homme ne peut pas vivre sans femme.
    • Les deux tiers des enfants du monde meurent de faim, alors même que le troisième tiers crève de son excès de cholestérol.
    • Un psychotique, c'est quelqu'un qui croit dur comme fer que 2 et 2 font 5, et qui en est pleinement satisfait.
    • Un névrosé, c'est quelqu'un qui sait pertinemment que 2 et 2 font 4, et ça le rend malade !
    • J'essaie de ne pas vivre en contradiction avec les idées que je ne défends pas.
    • Les aspirations des pauvres ne sont pas très éloignées des réalités des riches.
    • Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort
    • L'intelligence, c'est le seul outil qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur.
    • L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : "Je pense, donc tu suis."
    • Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires.
    • Il y a un seul cas où il est convenable d'aborder une femme laide. C'est pour lui demander si elle ne connaît pas l'adresse d'une jolie femme.
    • Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
    • L'intelligence, c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase.
    • L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins.
    • On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde.
    • Pour que votre voyage de noces soit un succès total sur le plan touristique, sentimental et sexuel, la première chose à faire est de partir seul.
    • Le voisin est un animal nuisible assez proche de l'homme.
    • S'il n'y avait pas la Science, combien d'entre nous pourraient profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans ?
    • Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
    • A part la droite, il n'y a rien au monde que je méprise autant que la gauche.
    • L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote.
    • Entre une mauvaise cuisinière et une empoisonneuse il n'y a qu'une différence d'intention.
  • 4.
    • Du moment qu'on rit des choses, elles ne sont plus dangereuses.
    • Qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé.
    • Quand les Verts voient rouge, ils votent blanc.
    • Le flux et le reflux me font “marée”.
    • Il m'est arrivé de prêter l'oreille à un sourd. Il n'entendait pas mieux.
    • L'autre jour, au café, je commande un demi. J'en bois la moitié. Il ne m'en restait plus.
    • Je suis adroit de la main gauche et je suis gauche de la main droite.
    • Si tu étais plus belle, je me serais déjà lassé. Tandis que là, je ne m'y suis pas encore habitué !
    • Toute la nuit, j'ai cru entendre le chromosome en plus qui tournait en rond dans ma case en moins.
    • Si Dieu n'est pas marié, pourquoi parle-t-on de sa grande Clémence ?
    • Est-ce l'oeuf le père de la poule ou la poule la mère de l'oeuf ?
    • Un jardinier qui sabote une pelouse est un assassin en herbe.
    • Je crois à l'immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître.
    • On a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort !
    • Lorsqu'un chêne sent le sapin, il sait que sa dernière heure est arrivée.
    • La grippe, ça dure huit jours si on la soigne et une semaine si on ne fait rien.
    • Chaque fois que mon percepteur revenait, je payais un impôt sur le revenu.
    • Une fois rien, c'est rien ; deux fois rien, ce n'est pas beaucoup, mais pour trois fois rien, on peut déjà s'acheter quelque chose, et pour pas cher.
    • - Qu'est-ce que vous regardez ? C'est la carte routière ? - Non ! C'est la carte des vins. C'est pour éviter les bouchons !
    • C'est pour satisfaire les sens qu'on fait l'amour ; et c'est pour l'essence qu'on fait la guerre.
    • La plupart des gens préfèrent glisser leur peau sous les draps plutôt que de la risquer sous les drapeaux.
    • Si l'on peut trouver moins que rien, c'est que rien vaut déjà quelque chose.
    • Dès que le silence se fait, les gens le meublent.
    • Moi, je fais attendre les gens pour leur faire passer le temps.
    • L'intellectuel dont la richesse est toute intérieure n'a rien à craindre du percepteur qui voudrait le taxer sur ses signes extérieurs de richesse.
    • On se prend souvent pour quelqu'un, alors qu'au fond, on est plusieurs.
    • Le rire est une chose sérieuse avec laquelle il ne faut pas plaisanter.
    • Quand un homme ne dit rien alors que tout le monde parle, on n'entend plus que lui !
    • Je me suis remis à la clarinette. C'est ce qui rapproche le plus de l'anglais.
    • Une rengaine, c'est un air qui commence par vous entrer par une oreille et qui finit par vous sortir par les yeux.
    • Etre raisonnable en toutes circonstances ? Il faudrait être fou...
    • Est-ce que c'est en remettant toujours au lendemain la catastrophe que nous pourrions faire le jour même que nos l'éviterons ?
    • Pour Dieu, l'imaginaire c'est une vue de l'esprit. La fiction ça le dépasse !
    • Les gens disent tous la même chose ! Ils disent tous, lorsqu'ils leur arrivent quelque chose : "Ça n'arrive qu'à moi !"
    • J'ai toujours réussi à rater tous mes examens.
    • Quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts !
    • Il ne faudrait pas croire que les responsables d'hier étaient plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d'aujourd'hui !
    • Ne rien faire, ça peut se dire. Ca ne peut pas se faire !
    • Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.
    • Chaque fois que votre femme fait une fugue, vous en écrivez une.
    • J'ai un ami qui est xénophobe. Il déteste à tel point les étrangers que lorsqu'il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter !
    • J'ai écrit un roman qui tient en une seule phrase ! C'est la vie d'un moine racontée par lui-même : Il était une foi... la mienne.
    • La raison du plus fou est toujours la meilleure.
    • Si ma femme doit être veuve un jour, j'aimerais mieux que ce soit de mon vivant.
    • J'ai été hier au cinéma. Voir un film en noir et blanc. Pas un film en couleurs : je suis en deuil.
    • Parce qu'il y a des magiciens qui vous promettent la lune... Moi, je vous promets le soleil !
    • Quand on s'est connus, ma femme et moi, on était tellement timides tous les deux qu'on n'osait pas se regarder. Maintenant, on ne peut plus se voir !
    • Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je marche !
    • La télépathie, c'est le téléphone de demain.
    • -Mais pourquoi courent-ils si vite ? -Pour gagner du temps ! Comme le temps, c'est de l'argent... plus ils courent vite, plus ils en gagnent !
    • Moi, lorsque je n'ai rien à dire, je veux qu'on le sache !
    • Un ministre, ça ne se vend pas ! Ca s'achète parfois ! Mais ça ne se vend pas !
    • - Le fou n'aime pas la marche... - Pourquoi ? - Parce qu'il la rate !
    • Un croyant, c'est un antiseptique.
    • Rien, ce n'est pas rien ! La preuve, c'est que l'on peut le soustraire. Exemple : rien moins rien = moins que rien !
    • Pour un raté... rater, c'est estimer avoir réussi là où les autres considèrent qu'ils ont raté !
    • Même avec Dieu, il ne faut pas tenter le Diable !
    • On ne sait plus ce que c'est que l'obscurité. A force de vouloir faire la lumière sur tout, on ne distingue plus rien !
    • Paradoxalement, sur une auto, vous avez des freins à tambour, alors que sur un tambour, vous n'avez pas d'auto-frein !”
    • Vous savez, les idées elles sont dans l'air. Il suffit que quelqu'un vous en parle de trop près, pour que vous les attrapiez !
    • Lorsqu'on a la prétention, comme moi, d'entraîner les gens dans l'imaginaire, il faut pouvoir les ramener dans le réel, ensuite... et sans dommage !
    • J'ai un copain, il est pilote d'essai... enfin, il ne l'est pas encore ; pour l'instant, il essaie d'être pilote !
    • - Est-ce que les histoires que vous racontez ne vous empêchent pas de dormir ? - Si, mais comme ce sont des histoires à dormir debout, je récupère !
    • Tous les écologistes sont daltoniens, ils voient vert partout !
    • Monsieur, ce que j'admire en vous, c'est que vous avez le courage d'être vous-même ; avec tout ce que cela comporte de ridicule !
    • En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées ! Alors, j'ai troqué ma deux chevaux contre une deux boeufs !
    • Un muet, c'est un antiparlementaire.
    • Avez-vous remarqué qu'à table les mets que l'on vous sert vous mettent les mots à la bouche ?
    • Je n'aime pas être chez moi. A tel point que lorsque je vais chez quelqu'un et qu'il me dit : “Vous êtes ici chez vous”, je rentre chez moi !
    • Il buvait toutes mes paroles, et comme je parlais beaucoup, à un moment, je le vois qui titubait...
    • Je connais un critique qui est en même temps auteur... ce qui le met en tant qu'auteur dans une situation critique !
    • Quand on demande aux gens d'observer le silence... au lieu de l'observer, comme on observe une éclipse de lune, ils l'écoutent !
    • Je connais un monsieur, c'est un auto-stoppeur professionnel. Il lui est arrivé un accident de travail... il a perdu le pouce !
  • 5.
    • Avant de vous défendre mesdames, je me présente quand même : Olivier de Benoist, grand défenseur des femmes. Depuis la mort de Jacques Vergès, je suis le seul avocat capable de défendre une cause perdue.
    • L'autre jour, ma belle-mère m'a dit qu'elle voulait préparer son enterrement. Elle m'a dit : »Je veux que vous soyez tranquille le jour où je ne serai plus là »… Mais ça va de soi.
    • Je pense également que les femmes ont pris le pouvoir car elles ont plus de talent… Y'a moins de réactions, c'est normal, c'est l'étonnement.
    • Mon beau-père m'a demandé comment j'avais su que sa fille était une femme pour moi. J'ai dit : « Je l'ai essayée, c'était pile la bonne taille. »
    • Janvier 82, création du jeu vidéo Pacman, le petit bonhomme jaune qui court de plus en plus vite en mangeant des pilules. Aujourd'hui on appelle ça le Tour de France.
    • J'ai voulu aller aux toilettes ; dans le noir c'était pas évident. J'ai commencé à me soulager quand j'ai entendu : « Oh super ! Du thé servi à la marocaine ! »
    • J'ai appris que dans les cours de théâtre, les comédiennes et les comédiens couchaient ensemble en tournée. Dommage, moi je fais du one-man-show !
    • L'autre jour, j'ai appris qu'il y avait un guide pour les mauvais pères, mais pour être un mauvais père y'a pas besoin de guide. Il suffit juste de regarder une mère faire.
    • J'ai acheté un CD de sa femme [de Nicolas Sarkozy], mais je l'ai rendu à la Fnac, y'avait pas de son.
    • Avec mon fils, on a regardé le sport, on a appris que David Beckham ne toucherait pas de cachet pour ses 5 mois passés au PSG. Quand on connait le niveau de la Ligue 1, il a dit : « C'est normal qu'avec les handicapés on fasse du bénévolat.